Le jour d'après (les confinements, couvre-feux) il faudra :

1°/ Contrôler nos frontières

et ce aussi bien pour les pays en dehors de l’Union Européenne que pour ceux de l’Union Européenne car sinon nous serons à la merci du maillon le plus faible. Cela risque de durer longtemps aussi longtemps que ne sera pas pris au sérieux la piste des traitement prophylactiques ou thérapeutiques, qui sont nombreux et diversifiés pour tenter de contrer l’épidémie (ivermectine, azithromycine, hydroxychloroquine, Zinc, vitamine C, vitamine D...)
Aujourd’hui, les européistes sont tellement aveuglés par leur idéologie qu’ils ont été incapable de contrôler nos frontières et ont donc laissé entrer le virus puis nous ont confiné et nous ont masqué avec nos enfants alors que l'age médiant des décès est de l'ordre de 82 ans.
Ce sont des méthodes moyenageuse enseignées dans aucune école de médecine digne des pays communistes tout ça couplés à des lois liberticides !
En Italie, le conseil d'état juge : « Le mineur ne peut pas se voir imposer l'usage d’un masque pendant la durée des cours, en raison du risque de fatigue respiratoire.»

2°/ Revenir sur une production locale et subventionner ces productions.

Imposer des barrières douanières et limiter progressivement les importations. Ceci qui est exactement l’inverse de ce que fait l’Union Européenne avec son dogme de libre échange total (CETA, Mercosur, récent accord controversé UE-Vietnam ou encore l'accord tout récent de libre échange UE-Mexique qui révolte les agriculteurs français).
Une production locale à 3 avantages : emplois, pas de pollution liée au transport et contrôle sanitaire aux normes de notre pays. Sur les produits stratégiques nous ne devons pas dépendre de l’étranger car nous serions soumis à un risque de pénurie, l’exemple des masques est frappant : en pleine crise les Chinois étaient en incapacité de nous en fournir !
Aujourd’hui, la crise est sanitaire mais demain elle sera peut-être d’une autre nature (technologique, écologique, alimentaire ou autres). Nous devons nous y préparer et avoir une vision plus large que le secteur médical.

Nous devons également revoir nos unités de production industrielles, re-nationaliser tous nos services publics stratégiques (douane, justice, santé, énergie, défense nationale, sécurité intérieur, infrastructures...) et prévoir 4 grands plans de relance : un pour la transition énergétique, un pour une planification écologique, un pour une souveraineté numérique et un sur la projection de la France vers la mer (La France possède le 2ème domaine maritime et le 1er domaine sous-maritime au monde).

Pour donner de la force et des finances à ces plans, la création monétaire devra être guidée vers l’économie réelle française et non vers la finance ce qui signifie que nous devons revenir au nouveau franc. 

3°/ Stopper le sous-investissement chronique des services publics

et en particulier des hôpitaux. La crise aurait pu être surmontée plus facilement si des choix budgétaires désastreux n’avaient pas été fait au détriment de la santé des personnes en effet nos gouvernements précédents ont supprimé 69 000 lits à d’hôpitaux en 15 ans et la commission européenne a demandé 63 fois aux états membres de réduire les dépenses de santé !
Plutôt que de s'occuper de son image personnelle Macron devrait tirer toutes les leçons de la crise.

4°/ Conclusion

Ses 3 points : contrôle des frontières, productions locales et investissement dans les services publics sont exactement le contraire du système supranational européen auquel nous appartenons et qui s’effondre sous nos yeux, il est important de comprendre qu’il faut quitter l’union européenne (auquel on avait dit NON en 2005) pour aller vers des coopérations internationales et faire du protectionisme écologique et économique sinon nous nous effondrerons avec elle.

L’Union européenne s’oppose en effet aux intérêts vitaux des nations qui la compose. Elle s’est révélée inapte d’être en mesure de faire face à cette crise et après il va y avoir une grande crise économique, le grand reset cher à Klaus Schwab dans lequel la pauvreté s'amplifie déja en France et une explosion de la dette de l'ordre de + 600 milliards d'euros qui sera compensée par des mesures d'austérité, de vente de patrimoine et de réduction de dépenses publiques, des retraites et des salaires exactement comme en Grèce.

Les graines de la Libération, du Frexit et de la souveraineté ont déjà commencé à pousser et maintenant elles germent !
Cette souveraineté est nécessaire, rassemblons-nous et mettons de côté provisoirement tous nos clivages, après une telle crise un grand débat national honnête sur le Frexit devient une évidence pour tous.


"Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage" - Pericles

"La plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de nous relever chaque fois que nous tombons" - Nelson Mandela

et j'ajouterai : "redressons nous, soyons digne".

#NousNoublironsPas #Frexit

Patrice Cali - avril 2020 MAJ février 2021

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