Services publics
L'UPR organisera le « retour à la nation » c’est-à-dire une (re)nationalisation totale ou partielle, selon les cas des entreprises suivantes :
- EDF et Enedis (anciennement ERDF)
- Engie (anciennement GDF Suez)
- Orange (anciennement France Télécom)
- toutes les sociétés d’autoroute
- toutes les sociétés de réseau d’adduction d’eau
- TF1
- TDF (Télédiffusion de France : TNT, vidéo à la demande, connexions haut débit…)
- tout établissement financier secouru par des fonds publics.
L’UPR interdira la privatisation des services publics stratégiques particulièrement dans le domaine de la santé et de l'éducation et annulera définitivement le processus de privatisation rampante de La Poste dont nous poserons le principe constitutionnel de la propriété publique ainsi que pour les producteurs et fournisseurs de gaz et d’électricité, de la SNCF, des autoroutes, des services d’adduction d’eau, des deux premières chaînes de télévision nationale et de la Sécurité sociale.
L’UPR procédera à l’arrêt immédiat des regroupements forcés de communes. Un regroupement de communes ne pourra avoir lieu qu’à la suite d’un référendum auprès des populations concernées de chaque commune.
L’UPR accordera aux communes la possibilité aux communes ayant fusionné depuis le 1ᵉʳ janvier 2010 la possibilité de « défusionner » et de reprendre leur liberté.