Destitution Macron
Notre dossier d’appel à lancer la procédure de destitution de Macron
L'article 16 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen (DDHC) de 1789 dispose :
« Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution. »
Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, 1789.
Rappels fondamentaux
La Constitution de la Ve République a été adoptée par le peuple français, par le référendum du 28 septembre 1958, avec le score écrasant de 82,6 % des suffrages exprimés et de 65,9 % des électeurs inscrits. Ayant ainsi obtenu un très large consensus national, elle a été promulguée le 4 octobre 1958 et elle constitue depuis lors la Loi fondamentale de la République française.
Les réformes constitutionnelles qui ont été conduites depuis cette promulgation se sont toujours faites dans les formes les plus solennelles, que ce soit par référendum ou par la réunion en grande pompe des deux assemblées en Congrès à Versailles. À chaque fois, la formulation de chaque nouvel article a été soigneusement étudiée et débattue. Lorsqu’il est saisi et amené à prendre un jugement, le Conseil constitutionnel étudie à la loupe le préambule et les articles de la Constitution, pour en faire respecter l’esprit et la lettre.
C’est dire à quel point tous les citoyens français en général, et les parlementaires au premier rang d’entre eux en particulier, doivent porter un soin vigilant à faire respecter l’esprit et la lettre de ce texte constitutionnel, qui constitue la clé de voûte de nos institutions, de la République elle-même, et au bout du compte du vouloir-vivre ensemble et de la paix civile dans notre pays.
Une loi constitutionnelle avait retiré le crime de haute trahison en 2007 dans notre dos par Sarkozy, ce crime avait été prévu par Charles de Gaulle et donc approuvé par 82% des Français lors du référendum de 1958, nous le rétablirons !
La procédure de destitution a été lancée par l'UPR et François Asselineau en 2018 suite à l'affaire Benalla, il suffit de 58 députés ou de 35 sénateurs pour lancer la procédure. Le lancement s'est déjà produit en France et Macron devra s'expliquer devant le Congrès et les français des points ci dessous, et même si la procédure n'aboutit pas, cela aura une portée internationale. Qu'attendent donc les 278 députés qui ont voté la censure pour lancer la procédure de destitution ?
Voici le modèle de lettre type que vous pouvez envoyer à votre député (mais pas seulement, à d'autres députés même).
Recherchez les députés en cliquant ici.
Je renvoie à l'excellent dossier de François Asselineau dont les 13 premières violations sont détaillées ici, auxquelles, depuis, on en totalise 59 :
01°/ La mise à sac du caractère « social » et de la « fraternité » de la République inscrits expressément dans la Constitution.
02°/ Le bradage d’intérêts stratégiques et de services publics à l’étranger.
suite : Macron vends petit à petit la France à des étranges; après Fnac-Darty, Casino, Atos et Marianne c'est Editis, que le milliardaire tchèque D. Kretinsky rachète.
https://www.lefigaro.fr/societes/medias-distribution-informatique-l-empire-tentaculaire-de-daniel-kretinsky-en-france-20230801
03°/ Le dénigrement incessant du peuple français.
04°/ Les atteintes sans précédent à la liberté de la presse.
05°/ Le travail de sape contre l’unité nationale.
06°/ La destruction programmée de milliers de communes françaises.
07°/ Le sabotage délibéré de notre indépendance nationale.
08°/ La violation outrageante du droit international.
09°/ une rhétorique guerrière visant à promouvoir un nationalisme continental européen.
10°/ Le mépris constant de la langue française et des pays de la francophonie.
Conséquence : Le français n’est plus la langue officielle du Mali. Partout où passe l'européiste Macron la France en ressort affaiblie !
Volontaire ou non, il n'agit pas pour le bien commun, l'intérêt ou le rayonnement de la France, il doit donc être destitué.
11°/ Le transfert d’une grande partie de la souveraineté française à l’Union européenne (et à l’Allemagne).
12°/ La signature du Pacte de Marrakech sur les migrations en refusant de demander l’accord du parlement ou celui du peuple français.
13°/ La domestication et la neutralisation du parlement.
14°/ La signature du traité d’Aix la Chapelle en refusant de demander l’accord du parlement ou celui du peuple français.
15°/ L’usage excessif de la force » du régime de Macron contre les gilets jaunes et le peuple Français (réforme des retraites en 2023).
16°/ Malversation financière du chef de l’État et le possible délit d’entrave à la justice. Macron a levé près de 16 millions d'euros entre mars 2016 et décembre 2017. Sa campagne a été financée pour moitié par environ 800 personnes. Plus de la moitié des dons viennent de Paris et de l'étranger.
17°/ Emmanuel Macron, premier président à s'afficher sur la profession de foi de la liste de son parti ALORS que selon la constitution française, il doit être le Président de tous les français. L'article 2 de la constitution : « son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple » est bafoué.
18°/ Cession de 24 hectares de territoire français à Andorre sans l’accord des populations concernées, en violation de l’article 53 de la Constitution relatif à la consultation obligatoire des populations vivant sur un territoire français dont la souveraineté pourrait être transférée.
19°/ Les restrictions liberticides avec les prolongations sans cesse d’états d’urgence sanitaire sans l’avis des parlementaires ou l’avis du peuple souverain par référendum.
20°/ Le refus d’autoriser un certain nombre de traitements largement utilisés dans le monde, notamment à titre prophylactique ou aux stades précoces de la maladie du Covid 19.
21°/ L’obligation de masquer nos enfants dès 6 ans alors qu’aucune étude sérieuse et indépendante ne justifie cette mesure absurde et périlleuse pour leur santé.
22°/ L’explosion de notre dette publique.
23°/ La fermeture de 17900 lits d’hôpital sous le 1er quinquennat de Macron.
24°/ Le scandale du « Lancet » et la « fake news » de l’étude publiée sur l’hydroxychloroquine.
25°/ Le scandale du Remdesivir.
26°/ L’isolement de nos anciens notamment dans les Ehpad lors du 1er confinement et le scandale du Rivotril et du Midazolam.
27°/ La privation de liberté de notre jeunesse alors qu’ils sont très peu contaminés et contaminants.
28°/ La « dangerosité » des fichiers mentionnant les opinions politiques. La plus haute juridiction administrative a donné un avis favorable à trois décrets qui élargissent les possibilités de fichage, autorisant policiers et gendarmes à faire mention des « opinions politiques », des « convictions philosophiques et religieuses », et de « l'appartenance syndicale » de leurs cibles, alors que les précédents textes se limitaient à recenser des « activités ».appartenances syndicales et données de santé.
29°/ La mise en place du pass vaccinal contraire à notre constitution : la liberté y est citée 17 fois alors que la santé n’est pas citée.
30°/ La suspension de plus de 15.000 soignants (chiffres du gouverne-ment) et plus de 5.000 pompiers par simple refus de se faire injecter 3 doses alors que les injections ne protègent pas la transmission. Selon Michèle Rivasi ce sont 130.000 suspendus en France ! 130.000 et non 15.000 soignants et 5.000 pompiers. Où étaient les syndicats pour défendre nos salariés suspendus ?
31°/ Le refus d’appliquer l’arrêt de la Cour de justice de l’UE (CJUE) qui estimait que le droit français du renseignement et l’obligation de conservation généralisée et indifférenciée de l’ensemble des données de connexion (IP, localisation, etc.) étaient contraires aux droits fondamentaux.
32°/ Le recours des cabinets extérieurs comme McKinsey est en très forte augmentation et coûte des milliards aux contribuables : marchés publics, mépris des procédures -gaspillage de nos impôts -copinage - privatisation de l'État - incompétence. Soupçons de fraude pour les campagnes de Macron. Non seulement Macron s'est fait élire en obtenant un favoritisme médiatique scandaleux et totalement illégal mais il a probablement bénéficié, en plus, de financements illégaux organisés par McKinsey.
33°/ Bayrou a été proclamé grand dispensateur des parrainages pour qu'il y ait des candidats, ce qui est totalement inconstitutionnel.
34°/ La guerre en Ukraine avec la livraison d'armes (2,615 milliards d’euros) dont 34 canons Caesar à 5 millions d’euros pièce + 1,2 milliard d'euros donnés à la Facilité Européenne pour la Paix (FEP) + de l’argent (plus de 2 milliards d’euros) en violation de l'article 35 de la constitution.
35°/ Affaire Uber : assouplissement de la loi contre le financement du parti de Macron.
36°/ Abandon de notre souveraineté énergétique au profit d'un pays étranger hostile.
37°/ Haute Trahison de Macron en remettant les intérêts de la nation aux dirigeants d'un pays étranger hostile. Macron a décidé de se faire représenter par le Chancelier Scholz à l'important sommet Union européenn / Asie Sud-est qui se tenait à Bruxelles en décembre 2022.
38°/ L'état mental de Macron n'est pas compatible avec l'exercice de son mandat.
39°/ La crise sur la réforme des retraite
40°/ Des CRS sans RIO empêchent les citoyens de circuler alors qu'ils n'ont commis aucun délit ni aucune infraction, cela viole nos libertés de circulation et c'est anticonstitutionnel.
41°/ La cartographie des affaires sous Macron prouve qu'il bafoue les institutions de la République française et que la macronie est une organisation mafieuse.
42°/ Sur la réforme des retraites, Macron agit exactement comme un tyran. Cette attitude de Macron bafoue explicitement l'article 3 de la Constitution.
43°/ Dominique Rousseau, professeur de droit public à l’université Paris Panthéon-Sorbonne confirme les violations de la Constitution de Macron et rappelle que le président de la République ne décide pas, il doit «arbitrer» !